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La descente a poursuivi dans la province Cibitoke en date du 10 janvier 2024 où le gouverneur de province Col Pol Bizoza carême a fait savoir que la paix et la sécurité règnent sur toute l’étendue de la province.
Néanmoins, la province a connu des cas des inondations causées par la pluie torrentielle. Cela a fait que la route nationale numéro 3 côté Nyamitanga soit implaticable mais les services habiletés ont fait le tout possible pour la rétablir.
Col Pol Bizoza carême a remercié le gouvernement du Burundi pour la valorisation des efforts de la population dans l’agriculture où le prix unitaire du kilo de maïs a été fixé à 1700 Fbu. Aussi, l’Etat ne cesse pas de contribuer pour que le bien-être du peuple soit amélioré davantage.
Du point de vue diplomatique, le gouverneur a fait savoir qu’ils ont une collaboration étroite avec les citoyens de la République Démocratique du Congo (RDC).
Dans son discours, Niteretse Martin a tout d’abord dressé aux participants les salutations de Son Excellence le Président de la République qui les a souhaités les meilleurs voeux du nouvel an 2024, une année de réveil et de novelles performances.
Le ministre a remercié les responsables administratifs pour leurs contributions pour pouvoir aboutir aux réalisations si efficaces.
Niteretse Martin a demandé aux administratifs de ne pas négliger les doléances du citoyen quelles qu’elles soient. Il les a rapellés que la sécurité est l’affaire de tous sans distinction aucune. De cela, il a interpellé chacun avec ses compétences de contrôler le mouvement des personnes en général et plus particulièrement celui des étrangers.
L’année 2024 est une année qui est supposée débuter la vision du Burundi pays émergeant en 2040 et pays développé en 2060. Cette vision doit être marquée par un changement de mentalités dans l’exécution des responsabilités et recommandations, respect des lois et règlements qui régissent le pays, lutter contre la fraude et la corruption sous toutes leurs formes et prendre les pratiquants comme de véritables ennemis du pays, ignorer toute injustice quelle qu’elle soit pour ne pas énerver la population; s’entretenir aux avec les personnes vulnérables comme les veuves, les orphelins, a recommandé le ministre.
Après les échanges avec les participants, la question du peuple tanzanien appelé les Masaïs est revenue. Le ministre a fait savoir que des décisions préalables ont été prises et qu’il reste la mise en application. Ils doivent avoir une place dans les marches comme les autres car le commerce ambulant est interdit sur le territoire national burundais.
Le ministre a terminé la réunion tout interpellant aux participants de respecter les recommandations issues de cette réunion qui s’ajoutent aux autres orientations du gouvernement de la République du Burundi.
Sgt Pol Twagirayezu Jean Berchmans